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XXXe Université annuelle du Club de l’Horloge : rétablir la liberté d’expression

XXXe Université annuelle du Club de l’Horloge : rétablir la liberté d’expression

par | 14 novembre 2014 | Politique

XXXe Université annuelle du Club de l’Horloge : rétablir la liberté d’expression

Le pouvoir est au bout des idées ! Préférence nationale, Europe des nations, démocratie directe, réinformation, superclasse mondiale, etc., le Club de l’Horloge, depuis sa création en 1974, est la source des principaux débats qui ont structuré la pensée politique de la France contemporaine. Son université annuelle est un événement. Il faut y participer pour y voir clair dans les forces idéologiques qui déterminent l’évolution de la France et du monde.

Samedi 15 et dimanche 16 novembre 2014, dans les salles de l’USIC, 18 rue de Varenne Paris 7e et Dîner de gala pour le quarantième anniversaire du Club de l’Horloge le samedi 15 novembre 2014.

Rétablir la liberté d’expression

La liberté d’expression est la raison d’être du Club de l’Horloge, depuis sa création il y a quarante ans, car nous voulons penser librement. Nous refusons la férule idéologique de la gauche, qui rétrécit la pensée. Pour imposer ses idées fausses, la gauche étouffe la liberté d’expression de toutes les façons. D’abord, par une législation scélérate, inaugurée par la loi Pleven en 1972, adoptée au nom de l’antiracisme par une majorité dite de droite. Ensuite, par une jurisprudence orientée, les tribunaux en rajoutant sur l’énoncé de la loi. On a vu récemment le Conseil d’État, naguère gardien des libertés publiques, interdire le spectacle d’un comique, puis censurer des propos tenus à la radio, bien qu’ils ne fussent pas contraires à la loi pénale.

Cependant, la censure va bien au-delà de la loi et des juges. Elle est à l’œuvre partout dans la société, elle pourchasse l’indépendance d’esprit et la recherche de la vérité au nom du « politiquement correct ». L’idéologie dominante – qui est aujourd’hui le cosmopolitisme – n’a jamais mieux mérité son nom.

Il est urgent de dénoncer cette dérive fatale de l’esprit public. Il faut rétablir la liberté d’expression ! Tel est le programme auquel nous devons nous attaquer avec ardeur. Il est la condition du redressement national.

Henry de Lesquen

Programme du samedi 15 novembre

9h00 : Accueil des participants

9h30 – 10h15 : Séance d’ouverture

Introduction

  • La  superclasse mondiale contre les libertés
    Jean Violette
    , politologue
    Ce n’est pas seulement la liberté d’expression qui est mise à mal. À part la liberté d’aller et de venir, presque toutes les libertés publiques sont aujourd’hui victimes des abus de pouvoir commis par l’État.

10h15 – 10h45 : Rafraîchissements

Première partie : pourquoi nous voulons la liberté d’expression

10h45 – 12h45

  • La liberté de pensée, première des libertés publiques
    Patrick Simon, avocat à la cour, vice-président de Radio Courtoisie, auteur de La main invisible et le droit.vSans la liberté de pensée, l’homme perd non seulement les moyens, mais la volonté de défendre les autres libertés.
  • La conquête de la liberté d’expression en Occident
    Philippe Nemo, philosophe, historien des idées, professeur des universités, patron d’émission à Radio Courtoisie,
    auteur de 
    Qu’est-ce que l’Occident ? et La régression intellectuelle de la France La liberté d’expression est le couronnement d’une longue évolution, elle exprime le génie de l’Occident.

Débat sur les deux exposés précédents

12h45 – 14h45 : Déjeuner

14h45 – 16h45

  • Liberté d’expression et débat démocratique
    Jean-Philippe Feldman, professeur des universités, avocat à la cour, auteur de Mutations de la démocratie locale. La liberté d’expression est la condition de la démocratie authentique.
  • La liberté d’expression, source de la vérité scientifique ou historique
    Henry de Lesquen, président du Club de l’Horloge, patron d’émission à Radio Courtoisie, auteur de Penser l’antiracisme. On ne peut faire confiance à l’opinion des savants que s’il est loisible de la contester.

Débat sur les deux exposés précédents

16h45 – 17h30 : Rafraîchissements

Dîner de gala à 19 heures en croisière sur le bateau « Ile-de-France » à l’occasion du quarantième anniversaire du Club de l’Horloge pour les personnes ayant réservé.

Programme du dimanche 16 novembre

10h15 : Accueil des participants

10h15 – 10h45 : Café et rafraîchissements

Deuxième partie : comment on étouffe la liberté d’expression

10h45 – 12h45

  • L’État censeur : lois scélérates et jurisprudences orientées qui étouffent la liberté d’expression.
    François Wagner, avocat à la cour.
    Il faut revenir à l’esprit d’origine de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
  • Police de la pensée : comment coteries ou groupes de pression ont colonisé les media et assujetti l’Etat
    Jean-Yves Le Gallou, ancien député français au parlement européen, président de Polémia, patron du bulletin de réinformation de Radio Courtoisie, auteur de La tyrannie médiatique.
    Le paradoxe des media, c’est qu’au lieu de contribuer au pluralisme de la pensée, ils sont devenus les instruments de l’idéologie dominante.

Débat sur les deux exposés précédents

12h45 – 14h45 : Déjeuner

14h45 – 16h45

  • Comment l’Amérique a confisqué la liberté d’expression
    Yvan Blot, philosophe, président d’Agir pour la démocratie directe, consultant international, ancien député, auteur de L’Europe colonisée.
    Autre paradoxe : alors que la constitution des Etats-Unis d’Amérique protège admirablement la liberté d’expression. celle-ci sert d’alibi à un pouvoir d’influence démesuré qui la dénature.
  • La liberté d’expression à l’ère de la communication numérique : faut-il domestiquer Internet ?
    Yves Duhamel, consultant
    Internet est comme la langue d’Esope, la meilleure et la pire des choses ; d’un côté, il a permis un développement fabuleux de la liberté d’expression ; de l’autre, il expose les individus à un contrôle généralisé de leurs faits et gestes.

Débat sur les deux exposés précédents

16h45 – 17h30

Séance de clôture

  • Conclusion : le combat politique pour rétablir la liberté d’expression
    Henry de Lesquen, président du Club de l’Horloge, patron d’émission à Radio Courtoisie, auteur de Penser l’antiracisme.
    La liberté d’expression est nécessaire au redressement de la France.

17h30 – 18h00 : Rafraîchissements

Départ des participants

Renseignements pratiques

La XXXe université annuelle du Club de l’Horloge est ouverte à tous ceux qui s’intéressent au mouvement des idées et qui veulent y participer. Vous pouvez y faire venir vos amis et relations. Il est conseillé de s’inscrire rapidement, de préférence avant le 10 novembre 2014.

Dates

Du samedi 15 novembre, à 9 heures, au dimanche 16 novembre, à 18 heures.

Lieu

Dans les salles de l’USIC, 18 rue de Varenne, Paris 7e.
Métro rue du Bac ou Sèvres-Babylone..

Déroulement des travaux

Les conférences dureront environ 45 mn et seront suivies d’un débat avec les participants.
L’ordre des interventions est susceptible de modifications. Les participants en seront avertis à l’ouverture de l’université.

Logement

Les participants qui souhaitent être logés à l’hôtel peuvent se renseigner auprès du secrétariat.

Le samedi 15 novembre, dîner de gala en croisière sur le bateau « Ile-de-France »
à l’occasion du quarantième anniversaire du Club de l’Horloge
pour les personnes ayant réservé.

Repas

Les déjeuners seront servis dans le voisinage de l’USIC.

Le samedi 23 novembre, soirée libre

Club de l’Horloge
4 rue de Stockholm, 75008 Paris

Pleins feux : L’Europe a-t-elle supprimé le monopole de la Sécurité sociale ?

Le Club de l’Horloge a publié, en 1989, Privatiser la Sécurité sociale, ouvrage dont le titre est explicite, et dans lequel il préconisait la mise en concurrence des caisses. Il y écrivait, en particulier :

« Les institutions de Sécurité sociale créées à la Libération sont un héritage des conceptions étatistes qui se sont épanouies dans les années trente. Elles forment, pour ainsi dire, un bloc de système soviétique immergé dans une société libérale. Elles illustrent deux grands principes typiquement socialistes : la vision “constructiviste” de la société, d’une part ; la socialisation de la morale, d’autre part ». Lire la suite

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