Jeudi 24 septembre à 19h30, je manifesterai à Paris contre la déferlante migratoire, à l’appel du SIEL et de ses dirigeants Karim Ouchikh et Frédéric Pichon, devant l’ambassade d’Allemagne, rue Marbeau, près de la Porte Dauphine, Paris XVIe.
S’agit-il d’une manifestation anti-allemande ?
Sûrement pas : le peuple allemand est victime de la dictature de Merkel. Cette chancelière n’a consulté ni son peuple, ni son parlement, ni les Etats fédérés avant d’imposer cette politique suicidaire. Elle a même voulu censurer les réseaux sociaux pout interdire toute critique de sa folle politique.
Il ne faut pas opposer les peuples européens les uns aux autres, mais les peuples européens aux oligarchies financières, médiatiques et politiques qui les manipulent et les gouvernent.
Le triumvirat Jüncker-Hollande-Merkel sera au centre des critiques
Jüncker l’alcoolique, Hollande l’aboulique, Angela mea culpa, c’est la triplette de la trahison. Ces gens-là sont les factotums des multinationales, de l’empire américain et des émirs pétroliers.
Les souvenirs de la seconde guerre mondiale servent – 70 ans après 1945 ! – à justifier l’ouverture des frontières. C’est insupportable. En Allemagne le délire de la culpabilisation est tel que quiconque émet des réserves sur l’islam ou l’immigration est accusé d’être « nazi » – avec les persécutions économiques et les provocations policières qui vont avec.
Dans ces conditions, les gens de PEGIDA – patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident – ont un mérite immense qu’il faut saluer. Finissons-en avec le point Godwin ! Finissons-en avec la repentance !
Cette manifestation sera-t-elle un appel au réveil et à la résistance des peuples européens ?
Idéalement oui. Il est clair que le problème n’est pas franco-français. C’est l’ensemble de l’Europe qui est menacé dans son identité, ses libertés, sa paix civile. Europe, réveille-toi ! Il faut saluer la lucidité des peuples de l’Est moins malléables : je pense aux Baltes, aux Tchèques, aux Slovaques, aux Roumains, aux Polonais, aux Hongrois qui s’opposent aux quotas de « migrants », c’est-à-dire de clandestins, sinon d’envahisseurs.
Vous employez le mot « envahisseurs ? »
Oui, je sais qu’il peut paraître dur mais il faut savoir nommer les choses.
Selon le Larousse, l’invasion c’est « une irruption soudaine et massive ». C’est bien le cas, non ? De surcroît non désirée et de plus en plus violente.
Et s’il s’agissait d’un exode de victimes de la guerre, de « réfugiés », on trouverait des hommes mais aussi et surtout des femmes, des enfants, des vieillards. Or ceux qui arrivent sont essentiellement de jeunes hommes, de plus en plus agressifs, d’ailleurs. Regardez les violences aux frontières de la Hongrie et de la Croatie !
Quelles solutions selon vous ?
L’arrêt absolu de toute nouvelle immigration en France, bien sûr, mais aussi en Europe : il faut une politique migratoire européenne, l’immigration zéro, ce que propose l’excellent premier ministre hongrois Victor Orban. Il ne s’agit pas de répartir les « migrants », il faut les empêcher d’entrer !
Il faut aussi rétablir les contrôles aux frontières nationales et couper les pompes aspirantes par la mise en place de la préférence nationale. Faire passer les nôtres avant les autres.
Il faut enfin mettre un terme au coup d’État des juges et rétablir la souveraineté du droit national et des peuples face à l’interprétation délirante des conventions internationales (réfugiés, droits de l’homme).
Manifester servira-t-il à quelque chose ?
Oui, cela peut être le début d’un mouvement de révolte contre la lâcheté des hommes politiques des partis dominants et contre l’intoxication médiatique. Il est temps de dire NON !
Tous devant l’ambassade d’Allemagne (déplacée au consulat en raison de travaux), 28 rue Marbeau Paris XVIe, le jeudi 24 septembre 2015 – 19h30.
Jean-Yves Le Gallou
18/09/2015
Voir aussi : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles, être Européen ! »
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