Ivan Blot, dans le cadre des associations d’ Agir pour la démocratie directe et de l’Institut Néo-Socratique, donne rendez-vous mardi 16 janvier 2017 à 19 heures pour assister à sa conférence qui aura pour thème l’Immigration, troisième cause de souffrance du peuple (cycle “Vers une nouvelle lutte des classes ?”, conférence n°5), dans les salons de l’association Dialogue franco-russe, 120 avenue des Champs-Élysées 75008 Paris.
L’IMMIGRATION
AGIR POUR LA DÉMOCRATIE DIRECTE
ET INSTITUT NÉO-SOCRATIQUE
73 rue de la Faisanderie 75116 Paris
Courriel : atheneion@free.fr / site web : www.democratiedirecte.fr
*
* *
LE MARDI 16 JANVIER À 19H00
À l’association « Dialogue Franco-Russe »
120, Champs-Élysées 75008 Paris
À vrai dire, par ordre d’importance pour nos compatriotes, l’immigration de masse est sans doute la première cause de souffrance, mais pas pour tous les français. Les sondages montrent bien selon IPSOS SOPRA STERIA (6 juillet 2017) que 65% des Français trouvent qu’il y a trop d’étrangers en France. Deux tiers des Français pensent qu’il y a trop d’étrangers mais, contrairement à la Suisse, ou la Californie, il n’y a jamais de référendum sur ce sujet. L’immigration de masse n’a aucune légitimité démocratique. En fait, l’immigration viole en permanence les trois termes de la devise de la République française : liberté, égalité fraternité.
L’immigration de masse viole nos libertés. Imposée par des accords avec l’étranger ou par des lobbies intéressés liés à la classe dirigeante actuelle, l’immigration de masse, dont les passeurs criminels sont les agents quotidiens, est mise en œuvre contre la volonté de la majorité des Français. Les classes dirigeantes veulent faire croire que s’opposer à elle serait « contraire aux droits de l’homme » et irréaliste mais elles s’opposent à toute consultation populaire sur le sujet. C’est une dictature d’oligarques, complices des milieux de passeurs criminels (comme la mafia en Italie) qui décide de la politique menée dans ce domaine.
L’immigration de masse est contraire à l’égalité. Les classes favorables à l’immigration sont celles qui évitent soigneusement le contact avec les immigrés, sauf pour rendre des services non qualifiés à bas prix. Le comportement d’évitement a été repéré et dénoncé par des sociologues dont Christophe Guilluy. Il règne dans deux domaines privilégiés, le logement et l’école. Les promoteurs de la mixité vivent dans des quartiers où le prix du mètre carré élimine la cohabitation avec les « pauvres » dont beaucoup d’immigrés. On vote socialiste mais on place ses enfants dans des écoles privées catholiques pour éviter la promiscuité avec des élèves étrangers qui sont souvent indisciplinés et font baisser le niveau culturel. La classe dirigeante se protège et se donne le luxe d’insulter les classes populaires accusées de xénophobie.
L’immigration de masse détruit la fraternité. De nombreux sociologues parlent de l’insécurité culturelle. Toute population a peur de devenir minoritaire sur son propre territoire et développe des réactions de défense. Le professeur Guilluy cite l’exemple de colonies chinoises dans le Maghreb. Le sociologue américain Putnam montre que la bienveillance et la confiance envers le voisin s’effondre dans les quartiers multiethniques aux États-Unis. Entre diversité et fraternité, il faut choisir ! Aujourd’hui, la France sacrifie la fraternité.
Un homme vit toujours entre les quatre pôles décrits par Heidegger : le territoire, les normes, les autres hommes et la transcendance ou la divinité.
L’immigration menace l’unité du territoire. Elle peut aboutir à des scissions comme au Kossovo ou dans l’ancienne Californie. Elle favorise le terrorisme en laissant se constituer ce que l’Académie des Sciences russe appelle des « califats délocalisés » où les armes s’accumulent et où l’on recrute les futurs djihadistes. L’insécurité physique se développe.
L’immigration affaiblit nos valeurs et impose ses propres normes comme le foulard islamique. Seul un fort patriotisme peut contrer cette tendance comme on le voit en Russie mais pas en France.
L’immigration crée l’insécurité culturelle et affaiblit le niveau de formation des jeunes générations. Elle fragmente et dégrade le tissu social et fait régner la méfiance à l’égard du voisin.
L’immigration met en minorité notre héritage chrétien bimillénaire, affaiblit nos consciences spirituelles et les valeurs morales qui y sont associées.
Les solutions sont claires : il faut rétablir la souveraineté nationale et faire des référendums d’initiative populaire pour fixer les grandes orientations politiques. L’immigration de populations étrangères à notre civilisation doit totalement cesser. Mais cela ne se fera que si les classes populaires prennent le pouvoir et renversent le pouvoir de l’oligarchie cosmopolite.
Il faudra éradiquer les « califats délocalisés » et faire cesser ce scandale d’un peuple désarmé face à des minorités qui accumulent des armes en cachette. Une garde nationale doit compléter les forces de l’ordre classique pour que le peuple puisse assurer sa propre défense. Il faut aussi un réarmement moral comme en Russie avec l’enseignement du patriotisme et l’interdiction des atteintes à l’unité nationale. Il faut supprimer le multiculturalisme territorial et imposer et développer la culture française partout sur le territoire. Il faut protéger notre héritage religieux comme on le fait déjà en Alsace Lorraine avec le concordat.
Nous nous retrouverons pour parler de tout cela le mardi 16 janvier prochain. Cordialement.
Ivan Blot
01/01/2018
Crédit photo : Elionas2 via pixabay (cc)