C’est le constat que fait l’écrivain Jean Raspail devant la déferlante migratoire et l’impuissance consentie du pouvoir à juguler le problème.
L’auteur du « Camp des saints » pointe notamment trois aspects. La composante émotionnelle, exploitée à fond par les médias complices du pouvoir, et liée au sort parfois dramatique des clandestins qui affluent en masse vers l’Europe.
Ensuite, l’absence de réelle adhésion des Français de papier à la culture française.
Enfin, l’acuité du problème sous l’angle de la croissance démographique puisqu’en 2050, les enfants d’immigrés seront aussi nombreux que ceux des Français de souche.
Mais l’écrivain garde une lueur d’espoir. Il voit une issue « qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces « idées chrétiennes devenues folles » sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général. »
Source : Bulletin de réinformation, R.C., 31/10/2013