Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info ♦ Face au durcissement de la ligne gouvernementale contre ceux qui osent s’éloigner du politiquement correct sur la question migratoire, Julien Dir a récemment rédigé une tribune libre sur le site de réinformation breton Breizh-Info. L’occasion pour lui d’assumer ironiquement l’injure proférée par Emmanuel Macron.
Monsieur le Président,
Ainsi, il aura fallu attendre que vous fouliez le sol de Bretagne pour venir nous réciter votre cantique larmoyant en faveur de l’immigration et contre les méchants populistes qui menaceraient l’Europe. « La lèpre populiste qui monte », avez vous dit, devant une assemblée de caniches triés sur le volet qui se sont bien gardés de poser la moindre question qui fâche.
Et bien sachez que les lépreux, qui sont des dizaines de millions dans toute l’Europe, vous saluent. Ils rêveraient tous de vous embrasser, pour vous transmettre l’identitarovirus. Mais il est vrai que Madame Buzyn doit vous avoir vacciné à la naissance contre le respect, la transmission et l’amour porté à vos ancêtres et à votre terre.
Vos accusations de « nationalisme rétrograde », de « menace pour l’Europe », sont horripilantes. Notre amour de l’Europe et de sa civilisation est bien réel. Nous sommes chez nous de Brest à Vladivostok, et à l’étranger sitôt passé la Méditerranée ou le Bosphore. Votre Europe, c’est l’amour des banquiers, des soirées mondaines, de la religion des droits de l’homme et du CAC40, mais aussi d’une petite oligarchie, cette classe médiatique et politique que vous appelez de vos vœux en indiquant qu’elle aurait une « responsabilité » à « éduquer les masses ».
Cessez donc de vouloir faire la morale à des dirigeants et à des peuples qui se portent, désolé, très bien. Comme ceux, par exemple, de Pologne, de Hongrie, de République tchèque, de Slovaquie et d’Autriche.
Car ces lépreux, comme vous les nommez, permettent à des jeunes et moins jeunes femmes de se promener tard dans les rues de leurs métropoles sans avoir la peur d’être violées, d’être agressées, ou pire encore…
Cette « lèpre » protège les peuples contre leur remplacement démographique programmé. Elle les protège des « joies » de la société française, de ces policiers attaqués dans leur commissariats, de ces violentes agressions gratuites pour une cigarette ou un regard, de ces pompiers caillassés en sauvant des vies, de ces images sales ou violentes mises dans la tête de nos têtes plus si blondes que cela dès le plus jeune âge.
Ces lépreux enseignent à leurs enfants à l’école d’où ils viennent et qui ils sont, pendant qu’en France on ne leur enseigne plus ni l’histoire ni la culture de leur peuple, préférant les bercer d’exotisme et de repentance.
Ces lépreux qui vous effraient tant évoluent dans des sociétés où aucun islamiste fraichement arrivé en Europe (ou bien nés ici de parents arrivés il y a une ou deux générations) ne tire à la kalachnikov sur les passants ou sur les participants à un concert. Ils n’ont pas envie que par votre folie migratoire, leurs femmes et leurs enfants se retrouvent plongés dans la société dont ils ne veulent pas et qu’ils voient parfaitement quand ils voyagent et qu’ils arrivent dans les rues de Paris, de Marseille ou de Lille.
Sachez aussi qu’en France, des millions de lépreux habitent, vivent, votent, construisent, travaillent, paient des impôts. Ils voient ce qu’ils passent. Ils subissent vos déclarations et vos renoncements, comme ceux de vos prédécesseurs. Ils veulent rester fidèle à leur culture, ils veulent transmettre à leurs descendants le pays qu’ont bâti au fil des siècles leurs ancêtres. Et, contrairement à vos déclarations mensongères, l’Europe – qui ne saurait se confondre avec l’Union européenne – n’effraie pas les lépreux. Sachez en tout cas qu’ils sont de plus en plus nombreux, la propagation du identitarovirus étant rapide, à vouloir vous faire un doux baiser gluant.
Si la Peste noire a ravagé l’Europe, alors la Lèpre blanche la sauvera !
Julien Dir
26/06/2018
Source : Breizh-Info
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