Par le Conseil national de la résistance européenne, présidé par Renaud Camus ♦ Nous partageons avec nos lecteurs cet appel au rassemblement du CNRE. Le concert au Bataclan, lieu symbolique par excellence, du rappeur islamiste Médine doit en effet avoir lieu dans deux mois. Mais il n’aura pas lieu. Il ne peut pas avoir lieu. Laisser chanter dans cette salle un islamiste radical est tout simplement impensable.
Polémia
Dans deux mois jour pour jour est censé se tenir au Bataclan, c’est-à-dire sur le site principal de l’attentat islamiste du 13 novembre 2015, qui a entraîné la mort de cent vingt neuf personnes et en a blessé trois cent cinquante quatre autres, un spectacle du rappeur Médine, figure notable et particulièrement agressive du changement de peuple et de civilisation, lié aux Frères musulmans et aux prétendus “Indigènes de la République” : c’est-à-dire à toutes les figures et mouvements de la colonisation en cours de notre pays et de notre continent, de l’islamisation et de la substitution ethnique. Le Petit Remplacement et le Grand, le changement de culture et le changement de peuple, ne peuvent avoir représentant plus provocant et plus emblématique que lui. Autant que la conquête organisée, revendiquée, triomphante, c’est en sa personne la débilité instituée, intellectuelle, littéraire et sonore, qui viendrait pousser son beuglement sauvage dans le sang des massacrés.
Si les Français acceptent cela ils accepteront tout. S’ils consentent à cette humiliation après toutes les autres, à cette profanation après toutes leurs églises vandalisées, à ce soufflet spectaculaire après les incessants égorgements, meurtres et viols de l’été, ils tourneront la page d’eux-mêmes, ils n’existeront plus comme peuple. Il y aura peut-être encore une France, si les nouveaux maîtres lui laissent ce vieux nom : ce ne sera plus qu’une expression géographique, sans lien aucun avec une millénaire communauté de destin.
Le pouvoir macronien, représentant local exemplaire de la davocratie — la gestion du monde par Davos et par le profit — ne tient peut-être pas spécialement à l’islamisation, mais il tient fort à tout ce qui l’amène : la submersion migratoire, la subrogation ethnique, l’écrasement de la biodiversité humaine, le bon fonctionnement des usines à Matière Humaine Indifférenciée (MHI). Les indigènes et assimilés, face à la colonisation meurtrière qu’ils subissent, ne peuvent compter ni sur leur gouvernement, qui les livre, ni sur leurs juges, qui avalisent le génocide par substitution et châtient ceux qui le dénoncent, ni sur leurs médias, qui le célèbrent incessamment, en slogans aussi plats que les vers de Médine. Nous sommes seuls. Tout est parfaitement clair. C’est une affaire de vie ou de mort. On ne peut être qu’avec nous ou contre nous. Foin des disputes absurdes et des querelles de préséance. Les palinodies des prudents et les tergiversation des intellectuels empêchés, qui ont peur du désastre qui vient mais plus peur encore des mots qui le désignent, ne sont ici plus de mise. Médine Zaouiche au Bataclan, c’est la pierre d’achoppement parfaite, la ligne de partage des eaux idéale, pour le peuple français, entre l’acceptation de la mort et son refus, entre la collaboration et la résistance, entre l’avilissement final et le sursaut salvateur. Nous avons deux mois pour nous préparer, pour assurer que l’irréparable n’ait pas lieu. Organisons-nous dès à présent pour être tous au Bataclan le 19 octobre, afin d’empêcher le sacrilège, l’insulte aux morts : et le 20 encore s’il le faut.
Conseil national de la résistance européenne
19/08/2018
Source : CNRE.eu
Crédit photo : Génération Identitaire