Le culte de « Big Other », la préférence pour l’autre, telle est l’idéologie qui nous gouverne, selon Jean Raspail. « Big Other » a ses relais dans les médias. Il y a aussi les associations qui le servent et qui en… vivent. Julius Muzart présente ici un triptyque d’études démasquant le fonctionnement réel du DAL (Droit au logement), de Médecins du monde (MDM), du GISTI (Groupe d’information et de soutien aux immigrés), de SOS Racisme.
Édifiant. Polémia présente ici ces quatre études, exposées en trois articles édités ci-après, sous le présent titre commun : Les associations immigrationnistes : les Thénardiers de « Big Other ».
C’est devenu – hélas ! – un lieu commun : entre le pays réel et l’élite autoproclamée qui le gouverne, le divorce est aujourd’hui consommé.
Entre la société civile qui travaille, aspire à la paix, à la sécurité, à un avenir heureux pour ses enfants, et les pouvoirs apparents ou réels qui décident à sa place, on cherche en vain aujourd’hui une communauté de pensée, d’intérêt et même de langage.
Eh bien, dans le monde associatif de notre pays, il en va de même que dans la société en général.
Il y a, en France, peu d’institutions qui bénéficient d’un capital de sympathie comparable à celui de « l’association. » À juste titre.
L’association, c’est à la fois l’expression et l’outil de la liberté, l’école de l’initiative, le support de toutes les formes de créativité et de l’ouverture désintéressée vers autrui. Du moins en ce qui concerne la très grande majorité des 1,3 million d’associations actives en France.
Mais le monde associatif présente également certains aspects plus troubles. C’est le cas, par exemple, quand des associations oublient que leur caractère devrait demeurer non lucratif.
Les associations « agents d’influence »…
C’est le cas également quand une partie du monde associatif se met au service exclusif d’un parti politique, et en devient le porte-parole occulte, ou quand il se met au service d’une ligne idéologique et se mue en « agent d’influence ».
Les exemples foisonnent dans notre pays. Les associations que l’on pourrait appeler « d’influence et de combat » sont sur tous les fronts : en premier lieu l’éducation, mais aussi le « social », le domaine culturel, et, bien sûr, la question de l’immigration.
Leur outil principal : médiatisation et désinformation
Sous le couvert d’objectifs humanitaires ou de l’ « antiracisme », plusieurs associations se consacrent, depuis une quarantaine d’années, aux combats idéologiques et à l’action d’influence politique, avec, comme outil principal, la médiatisation et la désinformation.
Pour le plus grand profit des formations politiques de gauche ; pour le plus grand profit, aussi, des acteurs de la mondialisation économique.
Accessoirement, pour le plus grand profit… des associations concernées elles-mêmes, dont les liens avec les pouvoirs qu’elles servent ne sont pas seulement intellectuels : en France, 20% seulement des associations monopolisent la totalité des subventions publiques.
Nous nous sommes donc efforcés d’y regarder de plus près, en premier lieu en ce qui concerne les associations d’influence et de combat immigrationnistes.
À suivre.
Julius Muzart
03/07/2015
Voir aussi
Les associations immigrationnistes : les Thénardiers de « Big Other » (1/3) – (SOS Racisme)
Les associations immigrationnistes : les Thénardiers de « Big Other » (2/3) – (GISTI et MDM)
Les associations immigrationnistes : les Thénardiers de « Big Other » (3/3) – (DAL
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