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Le nouveau Musée de l’homme promeut le Grand hemplacement

Le nouveau Musée de l’homme promeut le Grand hemplacement

par | 29 octobre 2015 | Billets

Le nouveau Musée de l’homme promeut le Grand hemplacement

Le Musée de l’homme a rouvert ce mois-ci. A la suite de la création du Musée du Quai Branly des arts premiers, il a perdu une partie de ses collections et a dû se renouveler.

Il a pris une coloration très idéologique

Le musée semble avoir pour mission de promouvoir le métissage et de justifier les changements de peuples. Et il le fait en images : une des affiches de promotion du musée représente une jeune et jolie femme métisse se débarrassant du corps et des oripeaux d’un homme préhistorique blanc.

La promotion du métissage est en vogue chez les anthropologues

L’idéologie droit-de-l’hommiste sait admirablement s’adapter aux découvertes scientifiques, tout du moins à celles qu’elle accepte de révéler. Jusqu’à il y a peu, l’unité et la pureté de l’humanité étaient une vérité incontestable. L’homme moderne était partout censé descendre à 100% des Homo sapiens venus bien évidemment d’Afrique. La théorie polycentrique, selon laquelle l’homme aurait pu se développer dans différentes contrées de la planète, était vouée aux gémonies.

Patatras ! La génétique a permis de démontrer que les hommes d’aujourd’hui n’avaient pas tous les mêmes ancêtres

Environ 3% des gènes des Européens et des Asiatiques viendraient de l’homme de Néandertal, qui est pourtant une espèce distincte de l’Homo sapiens. Il en va de même de l’homme de Denisova, dont on trouve une postérité dans les gènes d’Asie, notamment chez les Papous et les Tibétains ! L’unité de l’espèce humaine est donc toute relative puisque les hommes modernes descendent de différentes espèces et ce selon des proportions qui diffèrent selon les peuples.

Mais ce métissage ancien est présenté comme un modèle

En effet, au Musée de l’homme, dont le directeur scientifique est Yves Coppens, on se félicite de ce que l’homme moderne débarqué d’Afrique ait pu absorber les hommes primitifs qui peuplaient l’Europe et l’Asie. On rappelle également que les races n’existent pas car ce concept conduirait au racisme. On ajoute encore que, de tout temps, des peuples en ont remplacé d’autres et que cela va continuer, citant en exemple de futures vagues de réfugiés climatiques !

Au lieu de témoigner sereinement de la diversité humaine, le Musée de l’homme est donc un outil de propagande au service du Grand Remplacement. (Source : Bulletin de réinformation de Radio courtoisie, 28/10/2015).

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