L’institut Gatestone a analysé l’étude « être né en France d’un parent immigré » publiée par l’INSEE en février. Selon celle‑ci, le Grand remplacement semble se confirmer en France.
Les statistiques ethniques sont pourtant interdites en France ?
En effet, mais il est possible de déduire certains ordres de grandeur en mettant en perspectives plusieurs données intrinsèquement neutres. Ainsi, en 2015, 7,3 millions de Français avaient au moins un parent immigré, soit 11 % de la population. 46 % de ceux‑ci sont originaires d’Afrique ou de Turquie. A ce chiffre, nous pouvons ajouter les 6,2 millions d’immigrés.
Cela fait donc 13,5 millions de personnes d’origine étrangère récente en France
Contre 12 millions en 2011, soit une augmentation de 9 % alors que la population des Français nés de parents français n’a quasiment pas bougé. En d’autres termes, c’est la composante immigrée de la population française qui nourrit la croissance démographique de la France.
Et particulièrement les personnes originaires d’Afrique noire ?
En effet, les immigrés et enfants d’immigrés originaires d’Afrique dite subsaharienne ont augmenté de 43 % et 80 % de ceux‑ci ont moins de 25 ans en 2015. Cette population n’a donc pas encore apporté sa pleine contribution au repeuplement de la France. Cela rejoint une autre étude de l’INSEE de 2014, prédisant un doublement de la population originaire d’Afrique noire d’ici 10 ans.
Au total, la population d’origine musulmane pourrait atteindre les 15 à 17 millions d’ici 2025
En effet, les 6 millions d’aujourd’hui pourraient être 12 millions d’ici 8 ans. Il convient d’ajouter les descendants des premiers immigrants, désormais comptabilisés comme des Français nés de Français et sortant donc du radar ainsi que les clandestins de plus en plus nombreux. La prophétie de Houari Boumédienne « le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » semble plus que jamais en passe de se réaliser.
Source : extrait du Bulletin de Réinformation du 2/03/2017 de Radio courtoisie