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Italie : clandestins des mers et débarquements d’islamistes

Italie : clandestins des mers et débarquements d’islamistes
Italie : clandestins des mers et débarquements d’islamistes

La compassion obligatoire contre le principe de précaution. Pour les médias, les vagues de clandestins qui déferlent des mers sont tout simplement des migrants. Il s’agit de banaliser ce qui se passe en les comparant finalement à ces migrants européens venus peupler, notamment d’Italie, les USA. Le négationnisme médiatique de la réalité nous met en danger. On veut désarmer toute défense par un dégoulinement permanent de compassion. Mais qui peut évaluer le nombre d’islamistes infiltrés parmi les réfugiés et qui, demain, viendront frapper les Italiens qui les ont accueillis ? Ils sont là, infiltrés et non identifiables.

Certains voyages sont payés, sinon tous. Comment expliquer qu’un Erythréen sans rien se sauve de la misère par la Libye en payant 2.000 euros à un passeur ? De quoi vivre un an dans son pays ?

Et plus significatif encore : Comment de pauvres gens menacés par la mort, la noyade et exsangues dans des embarcations indignes ont-ils tout de même la force, la nuit, de jeter par-dessus bord les… chrétiens ?

Selon les témoignages de neuf rescapés de religion chrétienne cités par les médias italiens, 105 migrants, dont une majorité de Sénégalais et d’Ivoiriens musulmans, ont quitté les côtes libyennes le 14 avril entassés dans un canot pneumatique. Durant la traversée, une rixe se serait produite entre musulmans et chrétiens. Des Nigérians, des Ghanéens et des Maliens auraient été plusieurs fois menacés d’être jetés à la mer en raison « de leur religion chrétienne ». « L’origine de leur conflit est liée à la religion », a précisé la police. Puis, en pleine nuit, quinze musulmans seraient passés à l’acte en jetant douze chrétiens au milieu des vagues, dans les eaux internationales. Les autres migrants chrétiens n’auraient pu échapper à la noyade qu’en formant une véritable chaîne humaine.

L’embarcation, qui était en difficulté dans le canal de Sicile qui sépare Reggio de Messine, a été secourue par la marine militaire italienne et, dès que les passagers sont arrivés à Palerme, les chrétiens survivants ont été entendus par le parquet de Palerme. Les quinze meurtriers présumés ont été arrêtés et incarcérés sous l’inculpation d’ « homicide aggravé par la haine religieuse ». La misère ne les a pas rapprochés et la haine religieuse de certains musulmans ne connaît ni solidarité ni compassion.

Le traitement de ces masses incontrôlées permet forcément à des terroristes en puissance de venir en Italie, depuis de véritables barges de débarquement. Ces migrants restent des clandestins et certains d’entre eux sont de futurs terroristes islamistes maintenant en Italie.

Où est le fameux principe de précaution face au terrorisme, submergé par une compassion idéologique qui empêche de traiter le problème avec une intraitable rigueur et compatible avec le devoir d’humanité ?

Sauver les gens, c’est un devoir. Les accueillir, les laisser s’installer, c’est plus qu’une faute, une erreur qui nous met tous en danger.

Quand un rescapé infiltré frappera en Sicile ou en Calabre ou ailleurs, les médias se lamenteront devant les victimes de ceux qu’ils ont présentés comme de pauvres braves gens. Certains le sont, même s’ils n’ont légalement rien à faire en Europe et aucun droit à y rester… Mais ce qui nous menace ce sont les autres… car les autres aussi sont là.

Jean Bonnevey
Source : Metamag
19/04/2015

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