Immigration de masse et baisse du QI moyen en Europe sont‑elles liées ?
Notre confrère Le Monde a récemment relayé une étude menée, en 2015 par deux spécialistes des neurosciences, Edward Dutton et Richard Flynn,
respectivement finlandais et britannique et publiée dans la revue Intelligence, dirigée par le psychologue américain Rich Haier. Alors que le QI moyen des Européens a été en hausse convexe pendant quasiment tout le XXe siècle, on a assisté dans les années 90 à une inversion de la courbe et, depuis une dizaine d’années, à une dégradation accélérée du QI moyen sur l’Europe entière.
Les deux chercheurs passent en revue un certain nombre de causes possibles
Ils évoquent ainsi le rôle des perturbateurs endocriniens présents dans l’alimentation, celui des drogues, douces ou dures, le déclin programmé de
l’éducation (l’« effet Belkacem » avant la lettre…) ou encore la plus faible reproduction des personnes à QI supérieurs. Les deux chercheurs n’hésitent pas à pointer également l’arrivée massive de populations africaines sur le Vieux continent.
Leurs travaux confirment en cela une étude de 2013
Cette étude a été menée par un chercheur danois qui a épluché les tests du service militaire dans son pays, montrant que le QI moyen des non‑européens était de 86,3, contre 100 pour les Danois de souche. En France, entre 1990 et 2009, le QI moyen est passé de 102 à 98, soit une baisse de 4 points en vingt ans, ce qui, je cite Le Monde : « Est énorme ». Notons que le QI moyen poursuit sa croissance en Finlande, pays sans immigration de masse, et que les tests Pisa placent d’ailleurs en tête des pays de l’OCDE en matière de performance des systèmes éducatifs.
(Bulletin de réinformation du vendredi 1er juillet 2016, de Radio courtoisie)