Par Nicolas Faure ♦ Que veulent vraiment les identitaires européens ? Que pensent réellement ceux qui annoncent vouloir défendre leur identité et leur peuple ? Quelles sont les bases de leur discours ? La réponse en un court article explicatif.
Le discours identitaire européen s’appuie (comme tous les autres discours identitaires du monde) sur le primat de la génétique. Le discours identitaire est avant tout scientifique, en opposition au discours cosmopolite qui est égalitariste, et donc obscurantiste.
L’identité européenne, une réalité génétique
Il existe des différences génétiques significatives entre les populations humaines.
Exemple : les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont génétiques.
Les travaux de tous les généticiens – de Cavalli-Sforza à Evelyne Heyer – démontrent bien que l’identité européenne est une réalité génétique.
Dans une tribune parue dans le New York Times, David Reich – professeur généticien à Harvard, juif et de gauche – admet que les populations humaines diffèrent les unes des autres. Il évoque même des capacités cognitives moyennes différentes entre les populations.
Les différences intellectuelles entre les populations humaines sont effectivement significativement génétiques. Une donnée de première importance ! Toutes les informations utiles dans cette vidéo de Sunrise et ses sources.
L’Europe aux Européens
Toute personne un minimum honnête conviendra qu’une Chine composée à 70 % d’Européens, même parfaitement assimilés, ne serait plus la Chine.
De la même manière, une France composée à 70 % d’extra-européens parfaitement assimilés ne serait plus la France.
Reconnaître la justesse de cette proposition de bon sens, c’est bien acter que le génétique prime sur le culturel.
C’est la fameuse phrase du général de Gaulle ! Celui dont tant de politiciens aiment à se réclamer. On peut avoir une petite minorité d’extra-européens en France (ou ailleurs en Europe), mais pas plus.
Sauf que les extra-européens ne représentent pas une petite minorité en France. Ils sont de plus en plus nombreux !
Ce que certains appellent le « Grand Remplacement » est bien réel ! Tous les éléments de preuve dans cette vidéo de Sunrise et ses sources.
La nécessité d’une remigration pacifique et humaine
Dès lors, il faut être cohérent avec les éléments qui précèdent.
Il faut mettre en place de manière progressive, intelligente et humaine, des solutions permettant le retour au pays d’origine d’une part significative de la population extra-européenne.
Et cela peut se faire sans bain de sang ! Il n’y a pas d’un côté la guerre civile et de l’autre l’impossibilité de faire quoi que ce soit.
Il existe, je le crois et l’espère, un juste milieu.
On peut par exemple commencer par véritablement expulser tous les clandestins présents sur le territoire. Ça fait déjà du monde !
Puis l’on peut également déchoir de leur nationalité française et expulser tous les bi-nationaux ayant commis un crime.
On peut également prévoir des accords de retour au pays avec des États tiers. Avec des compensations financières pour les individus volontaires et les pays les accueillant.
Bref, il y a de la place pour des solutions très sérieuses !
Conclusion
- Les Européens sont les autochtones d’Europe.
- Ils diffèrent génétiquement des autres populations humaines.
- Si l’on aime sa civilisation, son peuple mais aussi la diversité du monde, on milite donc pour empêcher l’immigration extra-européenne sur notre continent.
- Surtout que les différences intellectuelles moyennes entre populations nous précipitent vers la tiers-mondisation si rien n’est fait.
Les conséquences sont potentiellement apocalyptiques ! - La remigration progressive, humaine et pacifique, est la seule issue logique.
Nicolas Faure
03/11/2019
Source : nicolasfaure.me