150 milliards, ce sont les sommes qu’il faut trouver pour remettre le budget en équilibre. C’est possible. Non par des coups de rabot, mais par des coups de hache dans les dépenses nuisibles. Voici, à grand traits, avec des chiffres en ordre de grandeur, les pistes à suivre !
25 milliards sur les 752 agences et commissions
Des dépenses superfétatoires ? Pas que ! Des dépenses nuisibles aussi, car chacun de ces organismes complique les procédures de décision, créé du travail inutile aux agents opérationnels et inspire des réglementations de plus en plus bureaucratiques, sources de gaspillages et d’étouffement des initiatives privées.
25 milliards sur le surencadrement bureaucratique de la France
À l’hôpital comme à l’école, il y a un surencadrement administratif qu’on peut chiffrer à 14 milliards par comparaison avec l’Allemagne. Des dépenses non seulement inutiles, mais aussi nuisibles : réformes pédagogiques inutiles ; exigences de reporting coûteuses en temps ; prélèvement du temps opérationnel (enseigner, soigner) au profit du temps passé à remplir des formulaires. A cela il faut ajouter le millefeuille territorial, estimé à 7,5 milliards, qui a pour résultat d’éloigner le décideur de l’usager.
25 milliards sur les dépenses d’immigration
Il entre chaque année 500 000 étrangers supplémentaires en France, ce qui coûte, selon les calculs théoriques du prix Nobel d’économie Maurice Allais, 50 milliards en charges d’infrastructures (transports, logements, écoles, hôpitaux, prisons). Vu autrement, il est possible d’économiser 25 milliards simplement en diminuant les dépenses d’accueil et en mettant en place la préférence nationale pour les dépenses relevant de la solidarité (RSA, CAF, logement). Sans même parler des 250 millions d’aide aux clandestins ! Les Français n’ont pas à payer pour leur remplacement !
25 milliards sur les dépenses de transition énergétique
Quand on fait de l’alarmisme climatique une religion, on ne compte pas. D’où un programme de dépenses pharaoniques dans l’espoir de diminuer de 0, 5% les rejets de gaz à effet de serre du monde :
- 3,5 milliards pour les éoliennes qui saccagent les paysages ;
- 1,5 milliards pour l’aide à l’achat de véhicules électriques ;
- 4 milliards pour l’ADEME ;
- 5 milliards pour les aides (bureaucratiques en diable) à la rénovation énergétique des bâtiments ;
- 8 milliards d’aide aux dispendieuses collectivités locales.
Bref : bureaucratie, gaspillage et enlaidissement.
25 milliards sur les aides extérieures
Aides au développement versées en pure perte (Chine, Algérie) ; surcoût de 10 milliards au profit des dépenses bureaucratiques de l’Union européenne ; aides sans fin au régime corrompu de Kiev ; ONG ; etc, etc.
25 milliards sur les dépenses propagande
Les dépenses de propagande sont les pires, car en façonnant l’opinion, ce sont elles qui légitiment toutes les autres dépenses nuisibles. La liberté de la culture, la liberté médiatique, les libertés syndicales et associatives passent par l’économie du don et de la générosité, pas par des subventions fléchées par le conformisme :
- 4 milliards pour les médias de service public ;
- 2 milliards pour la presse écrite ; 1 milliard pour l’AFP et l’INA ;
- 2 milliards pour la culture engagée (CNC, arts de la rue, créations contemporaines, pass culture, villes et régions à la culture, etc) ;
- 4 milliards pour les syndicats ;
- 2 milliards pour les associations immigrationnistes ;
- 1 milliard pour les associations LGBTQ ;
- 5 milliards pour le SNU, sans compter les subventions des collectivités territoriales, ni les 50 millions pour l’ARCOM, l’agence officielle de censure.