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Drépanocytose. L’africanisation de la France se poursuit à l’abri des regards

Drépanocytose. L’africanisation de la France se poursuit à l’abri des regards

par | 5 septembre 2018 | Europe, Société

Drépanocytose. L’africanisation de la France se poursuit à l’abri des regards

Par Nicolas Faure, entrepreneur ♦ C’est une nouvelle qui a logiquement fait peu de bruit en dehors des cercles patriotes et identitaires français. L’Agence Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant (AFDPHE) a fermé ses portes en juillet dernier. Cette agence à l’acronyme barbare était chargée de dépister 5 maladies rares chez les nouveau-nés français. Parmi elle, la drépanocytose. Une maladie touchant de manière quasi-exclusive les nouveau-nés issus de l’union de deux personnes d’origine africaine. Cette fermeture de l’AFDPHE – créée en 1972 ! – empêche donc d’observer – imparfaitement mais de manière satisfaisante – l’avancée de la transformation ethnique de la France. D’autant que le dépistage sera sans doute généralisé à tous les nouveau-nés.

La drépanocytose, seul marqueur comptable du Grand Remplacement

Depuis plusieurs années maintenant, le site Fdesouche incluait dans sa revue de presse médiatique le rapport annuel de l’AFDPHE qui rendait compte du taux de dépistage à la drépanocytose des nouveau-nés français.

Les conditions de dépistage de cette maladie génétique très majoritairement africaine sont très stricts : les DEUX parents doivent être issus d’une des régions à risque listées ci-dessous.

On le voit, ce sont bien les enfants issus de couples d’extra-européens qui sont visés. La part de couples composés d’Européens (Italiens du sud, Siciliens et Grecs) étant évidemment très marginale comparée à celle des couples composés d’Africains et de Levantins.

Les seuls cas où le nouveau-né peut être dépisté si ses deux parents ne sont pas issus de régions à risque sont évidemment marginaux.
Une légère nuance : dans certains hôpitaux de la région parisienne, le dépistage serait systématique face au très grand nombre de nouveau-nés à risque. C’est en tout cas ce qu’affirme de manière étrangement peu précise Valérie Gauthereau, directrice de la fédération parisienne de dépistage, au Monde.

Le dépistage de la drépanocytose est donc globalement un excellent moyen de contourner l’interdiction des statistiques ethniques. Il s’agit du meilleur moyen de constater la modification du substrat ethnique de la nation française.

Dans son livre La France identitaire, le journaliste de gauche Eric Dupin (Libération, Marianne, Le Monde diplomatique, etc.) reconnaît que « les données de ce dépistage donnent une bonne estimation de la proportion des naissances d’origine, au moins partiellement, extra-européenne. »

S’adressant à ses lecteurs de gauche, il n’hésite pas à secouer ceux qui préfèrent se cacher plutôt que de réagir : « Il ne sert pas à grand-chose de nier la mutation de la composition ethnique de la population française. […] Les prophètes de malheur doivent assurément être contredits. Encore faut-il ne pas se voiler la face sur les défis provoqués par la pression migratoire et la nouvelle diversité de la population française. »

L’évidence de l’africanisation de la France

L’évolution du taux de dépistage de la drépanocytose année après année démontre de manière extrêmement claire que le peuple français change en profondeur.

Ces données médicales étaient la preuve la plus évidente de la réalité de ce que Renaud Camus appelle le Grand Remplacement. Un concept bêtement attaqué par une caste politico-médiatique aveuglée par son assujettissement au dogme égalitariste qui nie toute différence génétique entre les populations humaines, en dépit d’un consensus scientifique clair sur la réalité de ces différences.

Il y a 100 ans, le taux de naissances totalement ou en partie africaines en France était certainement inférieur à 1 %. En 2016, il était de 39,39 % avec un pic à 73,56 % en Île-de-France !

Ceux qui refusent de reconnaitre la réalité de la transformation du peuple français sont soit des imbéciles, soit des lâches, soit des salauds.

L’AFDPHE fermée et le dépistage généralisé pour masquer la réalité ?

A l’heure actuelle, on ne sait pas pourquoi cette agence, existant depuis plus de 40 ans, a été brutalement fermée. Il s’agirait d’une restructuration confiant la gestion des dépistages au CHU de Tours. Mais l’annonce par Agnès Buzyn, ministre de la santé, d‘un avis favorable à la systématisation du dépistage auprès de tous les nouveaux-nés français, même n’étant pas considérés à risque, démontre qu’il y a bien un souci au plus haut niveau de l’état quant à l’accessibilité des résultats de ces statistiques ethniques déguisées.

Ce que l’on sait également, c’est que les obscurantistes égalitaristes au pouvoir sont bien embêtés depuis plusieurs années par les données du dépistage de la drépanocytose qui révèlent crûment ce qu’ils s’évertuent à minorer depuis des décennies.
Dans un décodage absurde, le Monde a tenté de nier l’utilité des données sur la drépanocytose en faisant mine de ne pas comprendre qu’un Africain de nationalité française reste génétiquement un Africain.
Par ailleurs, la possibilité d’un dépistage systématique – très clairement défendue par la ministre de la Santé – pour faire taire les « racistes » avait déjà été évoquée par le passé.

Il serait donc possible que l’AFDPHE ait fait les frais d’une censure politique déguisée. Les jours qui viennent le diront peut-être.

Quoi qu’il en soit, le résultat est le même. La généralisation du dépistage de la drépanocytose à tous les nouveau-nés en France fermerait la porte à tout suivi de l’africanisation de la France.

Ne resteront donc que les chiffres de 2005 à 2016 et les projections, forcément imprécises, réalisées par un spécialiste pour Fdesouche.

La droite pétrifiée face à l’interdit ethnique

Face au remplacement de population, la droite est incapable de réagir. Incapable d’oser penser cette question majeure – l’africanisation de l’Europe -, elle reste pétrifiée.

Lentement mise au pas par le gauchisme, harcelée par le politiquement correct… La droite française est aujourd’hui incapable de comprendre ce qui est en jeu.
Même dans le parti censé être le plus radical sur la question, le Rassemblement national, la question ethnique est laissée à l’abandon.

Le logiciel de la droite française est simple : si un Africain obtient une carte d’identité, il devient aussi Français qu’un arrière-petit-fils de poilu ou qu’un descendant d’ancêtres installés sur le territoire national depuis des siècles.
Et tout cela sans limite de nombre. Si demain, plus de 50 % des Français sont des Africains, Laurent Wauquiez et Marine Le Pen seront ravis. Qu’ils se réjouissent, ce jour arrivera mécaniquement si rien n’est fait d’ici quelques années.

L’africanisation, une chance pour l’Europe ?

Le problème dans tout cela, c’est qu’il existe évidemment des différences biologiques significatives entre les populations humaines et que les Européens, les Asiatiques et les Africains sont très différents génétiquement.

Dans une tribune pour le New York Times, le généticien David Reich – qui, comme son nom ne l’indique pas est Juif et de gauche – lançait un avertissement à tous ceux qui nieraient ces différences génétiques : « Les récentes études génétiques ont démontré qu’il existait des différences entre les populations, non seulement dans des traits simples comme la couleur de la peau mais aussi dans des traits plus complexes comme les mensurations et la vulnérabilité aux maladies. […] Je crains que les personnes bien intentionnées qui nient la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations humaines soient en train de s’enfermer dans des positions indéfendables qui ne survivront pas à l’assaut de la science. »

Et parmi ces différences biologiques, il est clair que la plus importante des capacités humaines – l’intelligence – diffère bien en moyenne entre les populations : « Puisque tous les traits influencés par la génétique sont censés différer entre les populations […], les influences génétiques sur les comportement et la cognition vont aussi différer entre les populations. »

Le QI moyen des Africains vivant en Afrique est estimé à environ 70 par Richard Lynn. Une estimation très controversée il y a encore quelques années mais qui n’est aujourd’hui plus sérieusement remise en cause.
Les statistiques ethniques étant autorisées aux USA, le QI moyen des Afro-américains (pour beaucoup des métis à des degrés divers) est mesuré de manière claire et constante à environ 85.
Le QI moyen des Européens est d’environ 100.

Sur le plan intellectuel au moins, il semble compliqué de considérer l’africanisation de la France et de l’Europe comme une chance.
Et casser le thermomètre était peut-être le seul moyen d’éviter au patient de comprendre que la fièvre était en train de monter.

Nicolas Faure
05/09/2018

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Fdesouche

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