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Dictature Macron. Compte-rendu des interventions du 5e Forum de la Dissidence [3e partie]

Dictature Macron. Compte-rendu des interventions du 5e Forum de la Dissidence [3e partie]

par | 18 janvier 2020 | Politique, Société

Dictature Macron. Compte-rendu des interventions du 5e Forum de la Dissidence [3e partie]

Le samedi 23 novembre 2019 avait lieu, à Paris, le 5e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. Les interventions se sont succédé tout au long d’un après-midi très dense. Michel Leblay, bien connu des auditeurs de Radio Courtoisie était sur place et a pris des notes sur chaque discours. Un gros travail dont nous publions ici la troisième et dernière partie.
Polémia


Consulter la 1re partie du compte-rendu
Consulter la 2e partie du compte-rendu

Intervention de François de Voyer

L’intervention de François de Voyer, président du collectif Audace, a porté sur la Convention de la droite, réunie le 28 septembre 2019, dont Polémia était partenaire.

Le succès de la Convention de la Droite - François de Voyer au Forum de la Dissidence 2019

A l’origine de la Convention

L’origine de cette Convention remonte à l’hiver 2019, avant les élections européennes du 26 mai, face à un sentiment d’abandon et de découragement. Tout semblait alors figé, aucune surprise n’étant à attendre de ces élections. L’idée est alors venue à François de Voyer, Erik Tegnér du collectif Racine et Jacques de Guillebon du magazine l’Incorrect d’organiser une convention à l’image de la CPAC américaine (Conservative Political Action Conference) dont la dernière réunion avait eu lieu à Washington du 27 février au 2 mars 2019 et à laquelle participa Marion Maréchal (accompagnée par François de Voyer).

La CPAC, annuellement réunie, reflète le dynamisme de la vie associative américaine. L’étude de cet exemple a permis de montrer comment l’élection de Ronald Reagan en novembre 1980 avait été préparée par des années de combat culturel tels que les mènent Polémia, Audace et d’autres associations. Ce combat culturel des conservateurs américains a débuté avec la défaite de Barry Goldwater en 1964, la pire dans l’histoire du parti Républicain. Tout un mouvement associatif a alors émergé dont la CPAC est devenue le rendez-vous annuel. Ces diverses composantes couvrent un spectre idéologique très large allant des libertariens qui prônent la légalisation du marché de la drogue au Tea party aux options très conservatrices. L’objectif poursuivi à travers un tel rassemblement est de définir d’un commun accord un programme de gouvernement.

Partant de cette référence américaine mais aussi de l’antécédent que fut la réunion organisée en 2016 à Béziers par Robert Ménard, qui s’avéra certes un échec, l’idée d’une convention de la droite fut donc lancée. Son intitulé a été l’objet d’une réflexion au regard de l’opportunité de mettre en exergue un clivage gauche-droite assurément peut être moins pertinent qu’il ne l’a été mais qui globalement détermine encore les oppositions actuelles. En effet, Emmanuel Macron, dans son action, se pose en progressiste. Il s’agissait donc de se présenter comme une alternative à cette conception par l’établissement d’une première synthèse entre les trois associations initiatrices du projet : l’Incorrect, Racine, proche alors des Républicains et le cercle Audace. Autour de celles-ci gravitent un ensemble de composantes.

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Un socle doctrinal et des objectifs pour la Convention de la droite

En premier lieu, il s’est agi de déterminer un socle doctrinal pour ce projet de convention ce qui fut fait à travers une déclaration d’indépendance par rapport au progressisme, au multiculturalisme et au libre-échangisme. Le but était de s’affranchir de cette soumission dans laquelle se complaît la droite traditionnelle.

La vision d’ensemble ainsi posée, quels étaient les objectifs assignés au projet ?

  • Un rendez-vous annuel régulier, lieu de débats et d’échanges.
  • Abattre les digues partisanes.

En fait, malgré la diversité des intervenants et de leurs rattachements partisans dont Les Républicains et le Rassemblement National, cette volonté de conduire à un rapprochement entre les différentes composantes de la droite n’a absolument pas été souligné par les médias.

  • Mettre en lumière le caractère ringard d’Emmanuel Macron et ce qu’il représente.

En quoi la Convention a-t-elle été une réussite ?

Malgré l’absence de moyens, la réussite de la Convention tient d’abord à son écho médiatique dans les semaines qui l’ont précédée.

Puis la relation qui en a été faite par les médias, très négative, mettant l’accent sur le discours d’Eric Zemmour, a permis de reprendre l’initiative par rapport à ce discrédit en se posant en défenseur d’une liberté d’expression bafouée par ces médias. Il faut souligner que cette défense de la liberté d’expression pouvait s’appuyer sur la présence parmi les intervenants de Raphaël Enthoven quelle que soit par ailleurs la qualité de son propos.

Eric Zemmour : « La société progressiste est une société liberticide » [Discours intégral]

En elle-même, la tenue de cette Convention et de son succès, deux mille personnes étant présentes face aux trente intervenants Elle a rassemblé une douzaine d’association dont Polémia, l’Institut Vauban, Contribuables associés… Il faut souligner que c’est grâce à ce tissu associatif que l’idée d’un tel rendez-vous de la droite pourra être pérenniser sachant que la victoire finale ne pourra s’inscrire que dans la longue durée.

En termes de publicité donnée à l’événement, s’il y eut ces critiques particulièrement acerbes des médias audiovisuels, en revanche, il a suscité une centaine d’articles de presse et sur les réseaux sociaux il a fait l’objet de soixante-mille tweets le jour-même. De plus, cette Convention, marquée notamment par ce discours d’Eric Zemmour a coïncidé avec l’arrivée de celui-ci sur CNews.

Si cette Convention fut un grand succès médiatique et idéologique, pour autant il ne se profile pour la droite aucun effet électoral à court terme. Cela tient à deux démons :

  • le démon de la pureté

En l’occurrence pour différents courants constitutifs de cette droite, au regard de leurs propres conceptions, les idées développées ne vont jamais assez loin. Néanmoins, il faut observer que les plus jeunes, les moins de quarante ans sont beaucoup moins sensibles à ces débats.

  • le démon de la division

Il est dû aux querelles de chapelles qui font qu’une large partie du temps est employée aux critiques internes.

La droite doit donc se rassembler pour la préparation à partir de 2021 de l’élection présidentielle de l’année suivante.

Intervention de François Bousquet

Pas de résistance sans courage ! - François Bousquet au Forum de la Dissidence 2019

L’intervention de François Bousquet fut une ode au courage : Le courage, c’est la vertu au-dessus des vertus. Et de préciser : C’est quoi, une vertu ? La vertu, c’est la qualité propre de l’être portée à son point d’incandescence… Je ne suis pleinement homme qu’à la mesure de mon courage.

François Bousquet s’interroge alors sur le sens du courage dans notre société présente : De quoi avons-nous peur ? Que risquons-nous ? Il n’y a plus d’enfer glacé des camps, rien. Toutes nos Bastilles sont mentales. Ce n’est plus la police politique qui vient frapper à la porte au petit matin, mais l’huissier avec des convocations devant le juge et des avis à payer.

Le contexte n’est donc pas celui de la terreur physique qu’exerçaient les tyrannies idéologiques du XXè siècle, mais il tient, d’une part à la menace du juge avec ses condamnations pécuniaires, voire privatives de liberté, avec sursis (au-delà possiblement) et d’autre part, au carcan d’une pensée hégémonique : L’espace vital de l’adversaire a tout colonisé. C’est son atmosphère que nous respirons, son langage que nous utilisons, ses milices que nous subissons. Nos idées ont été expulsées de l’espace public, elles ne fonctionnent plus que comme des concepts repoussoirs, pour ne pas dire repoussants… Pas un des qualificatifs médiatiques employés à notre encontre qui ne soit péjoratif, dépréciatif ou répulsif.

Un regard vers les quelques décennies passées montre quel a été le recul de nos idées sous les prétextes les plus variés. Loin de nous les années quatre-vingt où des intellectuels renommés, parties prenantes de notre école de pensée, siégeaient à l’Académie française, étaient des membres affichés du conseil scientifique du Front National, trônaient au Figaro Magazine, porte-avions idéologique de la Nouvelle droite dont le chef de file Alain de Benoist était récompensé par le Grand Prix de l’essai de l’Académie française.

La réalité présente s’appelle la « spirale du silence ». La spirale du silence, c’est le principal risque qui pèse sur les idées dissidentes : se rétracter sur elles-mêmes jusqu’à disparaître de l’espace public, puis de l’espace privé, puis de la conscience du sujet. Jusqu’à la mort lente, jusqu’à l’ensevelissement.

Cette spirale du silence s’autoentretient. Face à cela, il y a le courage : Lui aussi s’autoreproduit, lui aussi gagne en intensité, lui aussi se démultiplie, comme dans les boucles de rétroaction : l’action du courage sur lui-même produit un surcroît de courage, et ainsi de suite. Il a des effets auto-entraînants. Le courage appelle le courage, la victoire appelle la victoire.

En actes, le courage signifie l’engagement : C’est choisir, prendre parti, discriminer, s’engager sans retour. Et François Bousquet cite Jean Raspail et Le Camp des saints. Il ajoute : Car celui qui ne s’engage déserte de fait. Un tel homme n’a rien compris… L’Européen conséquent, le Français digne de ce nom, n’a guère le choix qu’entre investir ou s’investir, payer de sa personne ou payer de ses deniers, donner ou se donner, du temps ou de l’argent, ce qui revient finalement au même.

De tels moments de passivité, d’abandon ont des précédents dans l’histoire. François Bousquet cite à cet égard la phrase prononcée par Saint Augustin dans un sermon qui suit le sac de Rome en 410 : « Les temps sont mauvais, les temps sont difficiles, voilà ce que disent les gens. Vivons bien, et les temps seront bons ! C’est nous qui sommes les temps ! Tels nous sommes, tels sont les temps. »

Donc, Tout, sauf la passivité ! Tout, sauf l’indifférence ! Tout, sauf le désengagement, l’homme démissionnaire, l’abstentionniste !

Si dans certaines circonstances, une forme de clandestinité, de pseudonymie peut se justifier du fait des fonctions exercées, en revanche la généralisation encourage le climat général de fatalisme, d’impuissance, de défaitisme, si bien qu’ils valident la stratégie de neutralisation de notre adversaire… On perd tout à tout cacher.

Il faut être conscient que le rapport de force idéologique, totalement en notre défaveur, nous place dans l’obligation de sortir de l’ambiguïté. Cette ambiguïté qui ne s’exerce qu’à notre détriment nous condamne à ne jamais être explicite, à ne jamais quitter les registres de l’implicite.

Pour bousculer la parole dominante qui s’érige en référence, il faut formuler notre énoncé de référence par un discours véritaire, sans filtre, brut, sinon brutal. Nous devons donc développer des stratégies d’influence et de contre-influence dans des univers totalement inamicaux, au sens de Carl Schmitt.

Nous devons donc nous afficher et nous affirmer dans un monde où ni nos vies ni notre intégrité physique ne sont menacées. Sans s’avancer à découvert, il est vain d’espérer quoi que ce soit. Des minorités, tels les homosexuels, sont sorties de leur clandestinité et elles ont gagné. C’est à notre tour de sortir du placard, la prudence ne paie pas, elle fait des épargnants.

Conclusion de Jean-Yves Le Gallou

Le réveil des peuples face aux dictateurs - Jean-Yves Le Gallou au Forum de la Dissidence 2019

En premier lieu, Jean-Yves Le Gallou a observé que le message essentiel de la journée tenait à la conclusion de l’intervention de François Bousquet, celui du courage.

Dans le prolongement cette vertu mise en avant, le président de Polémia s’est proposé de décliner les voies de la Résistance au vu de la situation présente, face à Emmanuel Macron :

  • Résistance électorale
  • Résistance numérique vis-à-vis de la censure
  • Résistance par les actes

Résistance électorale face à Macron

Emmanuel Macron n’est que l’incarnation d’un pouvoir oligarchique hostile, fabriquée en quelques mois, cette incarnation peut être détruite aussi en quelques mois au profit d’une autre.

Quoique puissent annoncer les médias pour l’élection présidentielle de 2022, l’hypothèse d’un duel opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen n’est pas la plus probable. D’une part, les supputations de ces médias deux années avant les précédentes échéances ne se sont jamais révélées exactes. Le seul cas d’une reconduction d’un duel de second tour, en 1981 (Giscard-Mitterrand), a tourné au désavantage du candidat sortant. L’hypothèse semble donc peu probable. Ceci, parce que Emmanuel Macron apparaîtra, à un moment, à ceux qui l’ont soutenu, multinationales, banquiers, groupes de médias, comme un obstacle à leurs intérêts. Alors, il sera liquidé médiatiquement en quelques jours ou en quelques semaines. Il est encore plus facile d’éliminer médiatiquement quelqu’un par ce biais que de le fabriquer.

Il convient de remarquer que ceux qui se positionnent pour l’élection présidentielle de 2022, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, François Baroin, même Nicolas Sarkozy se présentent comme opposés à Emmanuel Macron, contre lui, mais en réalité, ils sont tout contre Macron, c’est-à-dire dans le même périmètre idéologique. Ils deviennent alors de simples produits de substitution. Leur élection, quelle que soit la personne, signifierait la même dictature du politiquement correct. Pour autant, l’histoire étant le lieu de l’imprévu comme le remarquait Dominique Venner, il peut arriver des évènements susceptibles de modifier la donne politique.

Résistance numérique

En termes de liberté d’expression la période 2005-2016 fut particulièrement faste avec le développement d’un internet libre qui a permis des avancées politiques importantes notamment au Royaume-Uni et aux Etats-Unis : le Brexit et l’élection de Donald Trump. A partir de là une censure, privée a été développée sur Internet et les réseaux sociaux. Ainsi Twitter a censuré un moment l’expression du président des Etats-Unis. Autre exemple, une manifestation récente des identitaires n’a réuni que peu de monde car la fermeture de leurs comptes sur les réseaux sociaux leur ont interdit de l’annoncer.

Pour autant, il ne s’agit pas de verser dans un quelconque pessimisme car l’histoire montre que la censure finit toujours par être contournée. A cet égard, il faut tout d’abord remarquer qu’Internet repose, à l’origine, sur une logique de décentralisation. Il existe une multitude de pôles qui émettent, reliés par une infinité de canaux, ce qui rend le système très difficilement contrôlable. Ce qui a modifié cette logique originelle, c’est la centralisation des réseaux sociaux autour de trois groupes mondiaux : Google-Youtube, Facebook, Amazon. Ces groupes sont devenus des monopoles qui servent des intérêts et une idéologie particulière.

Ces intérêts correspondent à ceux de l’Etat profond américain et de l’idéologie californienne, lesquels ont la volonté de diffuser leur idéologie. Il faut donc contourner les réseaux de transmission qu’imposent ces groupes par un retour à la logique décentralisée, initiale ; ceci par la création de sites internet situés dans des paradis numériques qui se feraient connaître au moyen de fils d’information comme des newsletters ou par Telegram, messagerie cryptée, non susceptible de censure.

Résistance par les actes

Il s’agit d’être plus actif et plus courageux. Il n’est pas demandé de faire autant que nos ancêtres qui ont dû participer à des guerres et aux assauts qu’elles impliquent mais seulement de faire dans ses actes un peu plus que présentement. L’image est celle de deux escaliers parallèles, l’un étant un escalator, l’autre l’escalier tel qu’il a toujours existé avec les marches à monter. Prendre le second exige un effort physique. Au sens figuré, cette image signifie que lorsqu’une décision est à prendre, il faut choisir la voie la plus difficile :

  • s’il vous est proposé d’être inscrit sur une liste électorale, il faut accepter plutôt que refuser ;
  • si vous hésitez à participer à une manifestation, vous y participez ;
  • si, dans un contexte professionnel, amical, familial vous entendez une conversation politiquement correcte, vous marquez votre distance ;
  • par vos questions, vos interrogations, vous obligez un interlocuteur à préciser son propos.

S’agissant par exemple d’un propos sur la sécurité énoncé de manière générale, vous faites préciser qui sont les auteurs des actes délictuels en cause. Une telle demande amène les parties prenantes à la conversation à libérer leur parole.

Il faut aussi aider financièrement les associations.

Si dans la vie professionnelle, la libre expression n’est pas toujours aisée, il faut reconnaître le caractère protecteur du statut de la Fonction publique. Si bien qu’il ne faut jamais plier, ne jamais faire acte de repentance, ne jamais s’excuser, au contraire, il faut réaffirmer son propos.

S’il est parmi d’autres un élément important dans la Convention de la droite, c’est le déplacement de la fenêtre d’Overton. Cette fenêtre d’Overton représente l’espace des idées considérées comme acceptables.

La fenêtre d'Overton, démonstration : comment rendre le cannibalisme socialement acceptable ?

Il apparaît donc que la dissidence, à l’instar du sport, repose sur l’entraînement. Il s’agit d’assurer la promotion de nos idées, d’intervenir partout en refusant de se soumettre à une diabolisation qui rendrait tel ou tel infréquentable.

Il faut être un bloc de résistance, un bloc de dissidence

Nous sommes face à une situation particulièrement instable au regard de laquelle le système dominant ne tient que par une répression accrue comme le montre celle exercée à l’encontre des manifestations des Gilets jaunes.

Il est certain que le réveil des peuples triomphera des dictatures comme le prouve les évolutions intervenues en Russie, en Hongrie, en Pologne, en Allemagne où, compte-tenu des particularités liées à son histoire du siècle précédant ces évolutions s’avèrent difficiles, en Italie où les démocrates ont constitué une nouvelle coalition pour s’opposer à des élections. Mais la France n’évolue que par explosion, en témoigne son histoire. Aucune de ces explosions n’est intervenue depuis Mai 1968, ce qui montre l’importance de la charge explosive que recèle la société française.

Comment cette charge se manifestera, nul ne peut le prévoir. Mais la probabilité d’une déflagration sociale est très importante. Il faut s’y préparer, cultiver la dissidence, se placer dans un esprit de résistance pour permettre un jour le grand bouleversement et le grand redressement.

Michel Leblay
18/01/2020

Source : Correspondance Polémia

Michel Leblay

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