Par Nicolas Faure, journaliste ♦ Beaucoup de militants fanatisés croient que les différences sociales (contrôles policiers, taux de délinquance et de chômage, etc.) existant entre les Africains vivant en Europe et les Européens sont dues à un racisme systémique.
Cette posture est obscurantiste ! Explications.
Pour les idéologues qui manient ce concept de racisme systémique, la seule explication autorisée pour expliquer les différences entre les populations vivant dans un même pays est la cause sociale. Si les Africains ou les Arabes vivant en France sont plus au chômage que la moyenne nationale, c’est car les discriminations contre eux sont très fortes, au point d’être systémiques, c’est-à-dire consubstantielles à la société française et à ses institutions.
Les populations humaines diffèrent génétiquement
Ces militants se refusent à envisager une autre cause possible : les différences biologiques entre les populations.
Ce manque d’esprit critique est d’autant plus étonnant qu’il ne fait aucun doute que les populations humaines (Européens, Asiatiques, Africains, etc.) diffèrent génétiquement les unes des autres !
2 exemples parmi d’autres :
1/ Une étude scientifique récente a démontré que les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont significativement génétiques.
2/ David Reich – professeur généticien à Harvard, juif et de gauche – admet que les populations humaines diffèrent génétiquement les unes des autres.
Dans une tribune pour le New York Times, il déclare : « Les études génétiques récentes ont démontré qu’il existait des différences entre les populations. »
Une fois que c’est dit, attaquons-nous au cœur du problème…
Ces différences génétiques entre les populations vont-elles jusqu’à des différences intellectuelles, ce qui aurait un impact énorme ?
Des différences intellectuelles moyennes
Pour répondre à cette question, il suffit de regarder la vidéo de Sunrise et prendre connaissances des sources complètes mises à disposition.
Il ne fait aucun doute que le QI moyen des Africains vivant dans des pays occidentaux est inférieur à celui des Européens qui est lui-même inférieur à celui de certaines populations comme par exemple, les Est-asiatiques.
Cette différence entre QI moyen des populations vivant dans un même pays occidental est-elle d’origine significativement génétique ?
Selon une majorité écrasante de spécialistes, oui !
Or, un faible QI est négativement corrélé à de nombreuses variables importantes.
Taux d’éducation, taux de chômage, taux de délinquance, etc.
Aveuglement idéologique
Les adeptes de la théorie complotiste du « racisme systémique » refusent d’étudier la possibilité que les différences sociales entre Africains vivant en Europe et Européens soient – pour tout ou partie – d’origine biologique.
Cette démarche obscurantiste suffit à les discréditer auprès de toute personne possédant un minimum d’esprit critique.
Quoi qu’il en soit, les indignations des obscurantistes égalitaristes auront du mal à modifier les gènes.
Nicolas Faure
26/05/2019
Source : Correspondance Polémia
Crédit photo : Domaine public